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LE JASPE: CETTE ETRANGE MUTATION 
 
par Francisco Grimalt - Président CT couleurs/Juges/ FOCDE

 
CLUB EUROPEEN DU CANARI JASPE

Article envoyé par Sr Francisco Grimalt, juge FOCDE et président du comité technique des juges couleurs espagnols FOCDE.

Fr. Grimalt est membre du Club Européen du Jaspe.

Sr Grimalt sera le juge officiel du 1er championnat d’Europe du canari Jaspe à Bordeaux - France (16 – 17 – 18 octobre 2009) http://www.aogirondine.fr

Article en langue française
Article en langue espagnole (Castillan)

Tous les éleveurs et les personnes qui ont apporté quelque chose à l'établissement et à la réalisation de la nouvelle mutation Jaspe sont heureux: si jamais il y avait des doutes sur l’avenir et la qualité de ce canari ces doutes sont balayés puisque le Jaspe simple dilution (= hétérozygote pour la mutation), vient de passer avec succès la première année de la reconnaissance à l'OMJ / COM (Organisation Mondiale des Juges / Confédération Ornithologique Mondiale).
Et en cet instant nous ne pouvons que féliciter le «père» de la mutation, notre ami José A. Abellán Baños, responsable de l'établissement et de la fixation de cette mutation chez le canari et de son ouverture au reste du monde. Remerciements pour qu’ainsi l’Espagne apporte une mutation qui a de l’avenir et qui permet des sujets d’une beauté extraordinaire.

Lors du championnat d’Espagne FOCDE qui s'est tenu à Gibraleón la mutation a été présentée avec des sujets double dilués = le canari pur pour la mutation (homozygote) pour sa première année de la reconnaissance. A la vérité pour ces sujets double dilués il y a encore beaucoup de chemin à faire, car pour l’instant ils manquent d’oxydation mélanique pour permettre un bon dessin. Actuellement pour foncer ces double dilués c’est la phaéomélanine qui le fait (mais est-ce normal? Je m’interroge).
En premier lieu nous devons fixer la qualité chez les sujets simple dilution et concentrer nos efforts dans ce but pour avoir des sujets simple dilution de qualité optimale. Ensuite d’ici deux ou trois années, à partir de ces excellents sujets à simple dilution nous pourrons faire le saut vers des sujets double dilués qui seront alors certainement des sujets très spectaculaires.
La commission technique nationale, en considérant les efforts développés par les éleveurs pour mettre en avant la mutation, a toutefois accepté pour la première année la reconnaissance de la double dilution en Espagne.
Cela ne signifie pas qu'ils vont passer la deuxième année, mais il est certain que le Comité technique va toujours travailler pour le bien de l'ornithologie et si cette année 2009 les double dilutions n'atteignent pas le score minimal, il est sûr que cela donnera de la stimulation et que le travail continuera pour donner une base plus solide et produire de meilleurs sujets pour l’avenir.
Pour ma part je remercie pour leur collaboration MM Antonio J. Sanz  et Emilio Tárraga, pour s'être investi et acquitté de leur devoir, en tant que personnes qui aiment l'ornithologie, ce qui n'est pas toujours facile et je suppose qu’à cette occasion ce n’était pas facile.

Les différentes variétés de canaris couleurs existantes sont déjà nombreuses et cette évolution n'est pas en voie de s'arrêter, mais bien au contraire car les éleveurs sont de plus en plus spécialisés, plus connaisseurs et étudient mieux les oiseaux pour comprendre l’origine de ces mutations et leur action sur les couleurs. Grâce à ce travail de sélection fait par les éleveurs, nous pouvons profiter actuellement d'un large éventail de variétés qui sont très plaisantes à voir.
Depuis quelques années, le comité directeur OMJ/COM publie dans son bulletin d'information qu’étant donné les problèmes qui ont surgi avec les dernieres mutations apparues et la confusion visuelle possible: par exemple le Topaze et l’Eumo et des doutes à leur bonne identification phénotypique entre eux et avec le canari Agate pastel, il est donc dit que la COM ne reconnaîtra aucune nouvelle mutation qui ne serait pas complètement différente de celles qui existent déjà et qui ne produise pas quelque chose de nouveau et d’intéressant.
Eh bien, le canari Jaspe, après trois années d'une reconnaissance nationale en Espagne, malgrè toutes sortes de doutes émis par des gens totalement ignorants sur cette nouvelle mutation, et qui ne parlaient que par ouï-dire et sans connaissance réelle "in situ", a également passé la première année de reconnaissance à l'OMJ / COM.
Autre preuve de l’intérêt de ce canari c’est que vient de se créer en France le Club Européen du canari Jaspe, présidé par M. Patrice Hery et qui avec Jean-Paul Glémet ont été et sont toujours les autres principaux contributeurs à notre comité technique, par leurs observations d’éleveurs et la fourniture de photographies.

Même si c’est un peu répétitif pour certains, je voudrais faire quelques rappels sur les origines du Jaspe, son comportement génétique et ses similitudes phénotypiques avec d'autres variétés en vue de faire connaître à tous les éleveurs et aux juges les qualités et les défauts rencontrés chez ce canari

ORIGINES
Les débuts de la mutation partent du tarin des aulnes (espèce européenne du genre Spinus) chez qui la mutation double diluée est apparue par sélection lors de l’élevage en captivité. Par croisement cette double dilution a ensuite été introduite chez d’autres espèces de Spinus notamment le tarin de Magellan. Cette dilution des ailes et de la queue que l’on voit chez le Jaspe est la caractéristique héritée du genre Spinus.

NOMENCLATURE
Nous trouvons avec la nouvelle mutation Jaspe deux phénotypes: le canari Jaspe SIMPLE DILUTION (les hétérozygotes) et le canari Jaspe DOUBLE DILUTION (le plus pur de la mutation, l’ homozygote).

GENETIQUE
De par son mode d’hérédité et de transmission, le Jaspe peut être considéré comme nouvelle mutation.
Le comportement du caractère génétique Jaspe est autosomique et semidominant = hérédité libre semi-dominante. Le classique (non jaspe) est J+ J+, le jaspe simple dilution est J+J et le double dilution est J J, il y a donc bien semi dominance. Lors d’un croisement de jaspe x classique on obtient des jaspes dans les deux sexes ce qui prouve bien qu’il ne s’agit pas d’hérédité liée au sexe. Par le fait de la semi dominance il n’y a pas de porteurs; Il existe des jaspes ou des classiques mais jamais de classiques porteurs de jaspes. Le gène jaspe s’apprécie pleinement quand il est en double (action poussée de dilution) mais pourtant quand il est en simple cela donne une déjà une dilution du manteau mais aussi cela modifie la pigmentation des ailes et de  queue c’est ce qu’on appelle le patron alaire (dilution des rémiges primaires et dilution plus ou moins poussée des plumes de la queue).
En ce moment, nous étudions le gène responsable de la dilution des ailes et la queue. Pour certains, cette caractéristique est liée à la mutation et est l'une de ses caractéristiques importantes. Dans ce cas cette dilution serait due au même gène jaspe ou alors à un autre gène mais très très proche et lié au gène du jaspe. Pour d’autres il pourrait y avoir plusieurs gènes impliqués mais distincts; la preuve étant qu’il existe certains sujets simple dilution qui ne présentent pas de patron alaire ou alors un patron alaire très peu visible. Voilà qui rend plus difficile à comprendre et plus mystérieuse la transmission du jaspe.
Ainsi le patron alaire ne serait pas lié à la mutation jaspe mais simplement une caractéristique du tarin spinus qui pour l’instant serait transmise en même temps que la mutation jaspe. Nous aurions alors au moins deux gènes, l’un responsible du patron alaire et l’autre responsable de la dilution particulière de l’eumélanine noire ou de l’eumélanine brune.

CARACTERISTIQUES DE LA MUTATION
La mutation JASPE se caractérise premièrement par un dessin composé de fines stries mélaniques avec de l’eumélanine dispersée chez la simple dilution ce qui donne un dessin complètement différent des variétés existant actuellement et qui existent dans les standards officiels de la Commission technique.
En double dilution (homozygote) : pour l’instant ils possèdent peu de dessin eumélanique et il est recouru à la phaéomélanine pour foncer ces oiseaux.
Le lipochrome prend une grande potentialité dans toutes les variétés du Jaspe.
Nous rencontrons une dilution sur les neuf rémiges primaires et à la base de la queue.
Le jaspe peut s’exprimer dans toutes les séries mélaniques mais pour l’instant il donne un phénotype intéressant en noir, en brun et en agate.
Autre élément important. Avec une seule femelle jaspe nous pouvons produire des hybrides mâles présentant la mutation. Ainsi si on croise avec des oiseaux du genre Serinus et qu’on peut obtenir des sujets féconds on pourra introduire la mutation jaspe dans le genre Serinus.

SELECTIÓN DES REPRODUCTEURS
Il faut essayer d'obtenir des exemplaires parfaits ou même avec un fort enveloppement oxydé, pour renforcer la faible structure eumelánique qui apparaît après la dilution (simple et double). Eliminer aussi les exemplaires qui apparaissent excessivement dilués, les ongles  blancs …
Les mâles présentent un dessin clair, limpide et lumineux et avec le moins de phaéomélanine possible. Alors que chez les femelles nous permettrons la présence de phaéomelanine pour l'élevage, mais sans excès.
Les accouplements conseillés sont avec des sujets simple dilution ou double dilution. J erappelle qu’il n’existe pas de porteurs.

? JASPE Simple Dilution X CLASSIQUE, les jeunes seront des hétérozygotes (simple dilution) et des classiques (non porteurs).
? Pour obtenir un jaspe double dilution il est nécessaire que les deux parents soient simple dilution et on obtiendra un jeune sur quatre en double dilution. Les issus seront: 50% simple dilution, 25% DOUBLE DILUTION et 25% classiques non porteurs

Nous verrons avec le temps passant où nous ménera la sélection et les préférences des éleveurs.
Le Jaspe conservera t-il son habituel “patron alaire” ? Ou verrons-nous disparaître ce patron? Il existe déjà 1% de jaspe simple dilution sans dilution en ailes et queue.
 


JASPE ESTA EXTRAÑA MUTACIÓN

                                           Francisco Grimalt Salvá
                                           Presidente CTC/J/FOCDE

Todos los criadores y personas que algo hayan aportado para la consecución de la fijación y nueva mutación JASPE, están de enhorabuena, si algún día hubo dudas de la proyección y calidad del nuevo canario, se acaban de disipar totalmente al pasar el canario JASPE SIMPLE DILUCIÓN (el heterocigoto de la mutación), el primer año de reconocimiento a nivel OMJ/COM.
Y como no puede ser de otra manera felicitar al “padre” de la mutación el Sr. José A. Abellán Baños, responsable de su fijación y posterior apertura al resto del mundo. Agradecerle desde aquí, que sea España quién aporte una mutación con proyección de futuro y un ejemplar de una belleza extraordinaria.
En el pasado Nacional de FOCDE, celebrado en Gibraleón la mutación se presento en la DOBLE DILUCIÓN, el canario puro de la mutación (homocigoto), para el primer año de reconocimiento y la verdad es que le falta bastante camino por recorrer, ya que les falta oxidación para conseguir un buen diseño melánico, por lo que en este momento hay que recurrir a la feomelanina para conseguirlo (¿a qué me suena esto?), primero se debería fijar muy bien la simple dilución con ejemplares de calidad y óptimos en oxidación y después de dos o tres años poder dar el salto con garantías al que debe ser un ejemplar espectacular.
La comisión nombrada para el enjuiciamiento consideró que debería darse una oportunidad a los criadores que tanto esfuerzo están haciendo para llevar la mutación adelante, y dieron por bueno el primer año de reconocimiento.
Esto no quiere decir que vayan a pasar también el segundo año, lo que es seguro que esta Comisión Técnica siempre va a trabajar por el bien de la ornitología y si este año no llegan a la puntuación mínima, seguro que redundará en bien de la nueva mutación haciéndola más fuerte y asentando bien las bases para que realmente sea de futuro.
También agradecer por mí parte la colaboración de los Sres. Emilio Tárraga y Antonio J. Sanz Cobo, por cumplir con su deber como gente que ama la ornitología, cosa que a veces no resulta nada fácil y por descontado que en esta ocasión no lo ha sido.
Las diversas variedades existentes, que son bastantes y a este paso no llevan camino de parar, sino todo lo contrario ya que los canaricultores cada vez se van especializando más y estudiando el comportamiento de las mismas, decía que todas ellas se deben o vienen originadas por las mutaciones.
Gracias a la selección de los criadores y cría, podemos gozar de un amplío elenco de variedades que causan gran placer a la vista.
Desde hace un año la OMJ/COM publicó en su boletín de noticias que dados los problemas que han surgido con las últimas mutaciones aparecidas, Topacio y Eumo y las dudas para su correcta identificación fenotípica entre ellos y con el canario Ágata Pastel, como decía, publicó que no se iba a reconocer ninguna nueva mutación que no fuera completamente distinta a las existentes y que no aportara algo novedoso y a la vez interesante.
Pues bien, el canario JASPE después de pasar los tres años de reconocimiento a nivel nacional, con todo tipo de dudas creadas por gente que desconoce totalmente la nueva mutación y que solo habla de “oídas”, sin conocerla “in situ”, también ha pasado el primer año a nivel OMJ/COM.
Tanta es la expectación que recientemente en Francia se ha creado el Club Europeo del canario JASPE, presidido por el Sr. Patrice Hèri y Vicepresidente el Sr. Jean Paul Glémet, los cuales han sido y son otros grandes colaboradores de nuestra Comisión Técnica, aportando su colaboración, así como diverso material fotográfico.
Me gustaría aunque siendo un poco reiterativo, hacer un pequeño repaso a los orígenes del JASPE, comportamiento genético y similitud fenotípica con otras variedades existentes, con el fin de dar a conocer a todos criadores y jueces las virtudes y defectos del canario al que nos referimos.

ORÍGENES
Los inicios de la mutación parten del Lugano silvestre europeo, cuando se capturo uno en libertad mediante la caza. Se fijo la Doble dilución gracias  a la cría en cautividad, y por afinidad genética se fueron fijando las dos diluciones al resto de spinus.
La dilución de las alas y la cola son lo que queda de la herencia precisamente de los spinus.

NOMENCLATURA
La nueva mutación JASPE nos la encontramos en dos fenotipos diferentes: canario JASPE SIMPLE DILUCIÓN (es el heterocigoto) y canario JASPE DOBLE DILUCIÓN (el puro de la mutación, el homocigoto).

GENÉTICA
Al ser heredable y transmisible no podemos que menos que considerar al nuevo carácter como mutación.
El comportamiento genético del carácter JASPE es autosómico y codominante (cuando el homocigótico clásico J* J* y el homocigótico mutado J J son distintos ambos al heterocigótico mutado J* J se habla de dominancia intermedia), por lo que los genes no se encuentran ubicados en los cromosomas sexuales, ya que nos aparecen ejemplares F1 de la mutación tanto machos como hembras.
Por lo que no hay portadores.
Genotipo: J J (igual en machos y hembras)
En realidad es un gen de dominancia incompleta ya que los ejemplares heterocigóticos (J* J, portadores del alelo recesivo), son intermedios con el ancestral (J* J*) aunque se aprecia perfectamente la mutación gracias a la dilución de las remeras primarias (alas) y la dilución que aparece también en el comienzo de la cola (timoneras) lo que se conoce como el “patron alar”. El diseño del dibujo también es fácil de apreciar en los ejemplares más o menos de cierta calidad.
En este momento estamos estudiando el gen responsable precisamente de la dilución de alas y cola, que aunque vaya ligada a la mutación y siendo una de sus características importantes, parece no estar en el mismo gen, sino a uno que aparece muy, muy cercano del gen responsable de la mutación, incluso puede haber varios genes implicados, la prueba la tenemos en que aparece algún ejemplar simple dilución (heterocigoto) sin la clásica dilución en las alas y la cola (patron alar), en un tanto por ciento muy bajo, cercano al uno por ciento. Lo que hace más compleja si cabe, su selección al hacerla más misteriosa.
Por lo que el llamado “patron alar” aunque sea una característica que se transmite conjuntamente con la dilución, no se puede definir como mutación sino un carácter heredado de los spinus.
Entonces nos encontraríamos al menos con dos genes responsables uno de la dilución de las alas y la cola (patron alar) y otro que diluye la eumelanina negra y la marrón.
 
 

CARACTERÍSTICAS DE LA MUTACIÓN
La mutación JASPE, se caracteriza primero por presentar un diseño compuesto por unas finas estrías melánicas, con eumelanina dispersa en la SIMPLE DILUCIÓN, lo que le confiere un dibujo completamente diferente a los existentes hasta este momento y que aparece en el estándar oficial de la Comisión Técnica.
En la DOBLE DILUCIÓN (homocigoto), apenas posee trazos eumelánicos en este momento, por lo que se recurre a la feomelanina para aportar un poco más de dibujo.
El lipocromo cobra una gran potencialidad en cualquier variedad del canario Jaspe.
Nos encontramos con una dilución de las nueve plumas primarias en las alas así como en  el comienzo de la cola.
Al conseguir que con una sola hembra de canario Jaspe, nos puedan aparecer híbridos mutados de sexo macho con cualquier ejemplar que aporte algo de fecundidad con los Serinus, nos encontramos con otro de los beneficios que nos aporta la mutación.
Nos la podemos encontrar en las tres series melánicas: Negra, Ágata y Bruno.

SELECCIÓN DE LOS REPRODUCTORES
Hay que tratar de conseguir ejemplares óptimos o incluso con una “sobre-oxidación”, para reforzar la débil estructura eumelánica que aparece después de la dilución (simple y doble). Eliminando los ejemplares que aparezcan excesivamente diluidos, uñas blancas…
Los machos presentarán un diseño claro, limpio, luminoso y con la mínima expresión de la feomelanina, mientras que en las hembras les permitiremos su presencia (feomelanina) para la cría, aunque no en exceso lo que les confiere un oscurecimiento en todo el manto.

Las parejas aconsejables en Simple dilución  y en  Doble dilución, al no existir portadores son:
? JASPE SD X CLÁSICO, los canarios nacidos de este cruce serán heterocigotos SIMPLE DILUCIÓN y clásicos NO PORTADORES.
? Para conseguir un JASPE DOBLE DILUCIÓN, es necesario que los dos ejemplares sean SIMPLE DILUCIÓN  con lo que conseguiremos uno de cada cuatro hijos o lo que es lo mismo: 50% simple dilución, 25% DOBLE DILUCIÓN y el 25% clásicos no portadores.

Sin más, veremos con el paso del tiempo donde nos va a conducir la selección y las preferencias de los criadores, ¿al Jaspe que conocemos con el clásico “patron alar” o lo hacemos desaparecer?
Existe (un 1%) de Jaspe sin dilución en las alas y la cola.
 
 

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