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Le compte-rendu d'organisation
L'atelier topaze -eumo L'atelier classiques oxydés L'atelier classiques et pastels dilués L'atelier ailes grises L'atelier phaéos Les photos |
Les documents de travail (standards)
Le compte-rendu |
Généralités
Standard O.M.J. (version 1991)
Ils présentent une expression maximum de l’eumélanine
qui occupe l’axe central des tectrices pratiquement sur toute la longueur
de celles-ci. Les stries seront bien marquées. Les grandes plumes
(épaules, rectrices et rémiges) sont fortement eumélanisées
à l’exception d’un fin liseré qui présente la couleur
de fond lipochromique. Le lipochrome sera lumineux et réparti uniformément
(mais en rapport avec la catégorie du sujet). L’oiseau ne devra
pas présenter de zones claires.
Standard français C.N.J.F. (version 1992)
Les oxydés montrent des stries bien marquées.
Standards du noir :
Standard O.M.J. (version 1991)
L’oxydation du noir doit se manifester au maximum sur le plumage, les
pattes, les ongles et le bec. Le dos, les flancs et la tête présentent
des stries noires bien marquées se détachant sur un fond
très oxydé dépourvu de brun.
Standard français C.N.J.F. (version
1992)
Ces oiseaux présentent la seule mélanine noire dans son
expression maximale. Les stries devront être noires sur un fond oxydé
dépourvu de brun. Les stries seront fines chez l’intensif, un peu
moins chez les autres. La mélanine occupe l’axe central des tectrices
sur pratiquement toute la longueur de celles-ci, le dessin strié
sera longitudinal et continu depuis le haut du dos : les stries seront
donc nettement visibles sur le dos et les flancs. Les grandes plumes (épaules,
rémiges et rectrices) seront fortement mélanisées
de noir à l’exception d’un fin liseré qui présente
la couleur de fond lipochromique. Le pigment brun sera totalement absent.
L’oxydation du plumage devra être visible depuis le bec (la tête
apparaissant bien sombre) jusqu’au croupion et au bas-ventre. Le bec, les
pattes et les ongles seront unicolores et d’un noir le plus foncé
possible.
Très bon Sujet correspondant au standard. Note
: 20 sur 30.
Bon Bonne oxydation du plumage, absence de brun, oxydation
un peu moins forte du bec et des pattes. Présence légère
de brun chez le schimmel, le fond blanc et la femelle mosaïque.
Note de 28 sur 30.
Moyen La note de 25 à 27 sera adaptée au
degré d’imperfection.
Manque de mélanine à la tête (front éclairci
ou bavette claire). Présence de plus en plus importante de brun
dans l’interstrie et dans les rémiges. Oxydation de moins en moins
forte du bec et des pattes. Manque de stries aux flancs.
Mauvais Application du système pénalisant.
Manteau envahi par le brun. Stries brunâtres au lieu de noires.
Oxydation insuffisante du bec et des pattes. Tendance au type agate.
Compléments au standard C.N.J.F. (octobre
1998)
Ces oiseaux présentent la seule mélanine noire dans son
expression maximale. Les stries devront être noires sur un fond oxydé
dépourvu de brun. De même que pour les oiseaux schimmels,
mosaïques et à fond blanc, les stries resteront évidentes
mais moins larges chez les intensifs. La mélanine occupe l’axe central
des tectrices sur pratiquement toute la longueur de celles-ci, le dessin
strié sera longitudinal et continu depuis le haut du dos : les stries
seront donc nettement visibles sur le dos et les flancs. Les grandes plumes
(épaules, rémiges et rectrices) seront fortement mélanisées
de noir à l’exception d’un fin liseré qui présente
la couleur de fond lipochromique. Le pigment brun sera totalement absent.
L’oxydation du plumage devra être visible depuis le bec (la tête
apparaissant bien sombre) jusqu’au croupion et au bas-ventre. Le bec, les
pattes et les ongles seront unicolores et d’un noir le plus foncé
possible.
Les critères de pénalisation sont inchangés.
Standards du brun :
Standard O.M.J. (version 1991)
L’oxydation du brun doit se manifester au maximum sur le plumage. Les
pattes, les ongles et le bec seront de couleur légèrement
brunâtre. Le dos, les flancs et la tête présentent des
stries brunes bien marquées se détachant sur un fond très
oxydé.
Standard français C.N.J.F. (version
1992)
Ces oiseaux présentent une expression maximale de la seule mélanine
brune avec disparition de la mélanine noire. Les stries devront
être brunes foncées et se détacher sur un fond très
oxydé de tonalité brune. Les stries seront présentes
sur le dos, les flancs et en plus sur la tête des mosaïques.
Les stries seront fines chez l’intensif, un peu moins chez les autres.
La mélanine occupe l’axe central des tectrices sur pratiquement
toute la longueur de celles-ci, le dessin strié sera longitudinal
et continu depuis le haut du dos. Les rémiges et rectrices seront
fortement mélanisées, d’une tonalité en harmonie avec
les stries il ne subsistera qu’un fin liseré présentant la
couleur de fond lipochromique. L’enrobage du corps par la mélanine
partira du bec et sera le plus complet possible en fonction de la présence
ou non du pigment lipochromique (variété et catégorie).
Le bec, les pattes et les ongles seront unicolores et de couleur chair
Nota : chez le schimmel, l’enrobage devra toutefois laisser apparaître
le lipochrome. Si l’enrobage est trop important, la note en mélanine
ne sera pas modifiée mais il pourra y avoir pénalisation
dans la rubrique catégorie..
Très bon Sujet correspondant au standard. Note
: 20 sur 30.
Bon Dessin strié satisfaisant mais tonalité
d’ensemble un peu moins oxydée ou avec éclaircissement en
poitrine.
Tonalité bien oxydée avec striation présente
mais pas assez nette ou trop discontinue dans le dos.
Note de 28 sur 30.
Moyen La note de 25 à 27 sera adaptée au
degré d’imperfection.
Striation trop large. Eclaircissement de certaines parties du corps
: poitrine, front, gorge (pénalisation en fonction de l’éclaircissement).
Perte du dessin des flancs. Striation nette mais sur fond peu oxydé.
Disparition progressive des stries.
Mauvais Application du système pénalisant.
Tonalité trop claire du fond avec aspect grisâtre tendant
au type agate. Etalement total de la mélanine avec disparition du
dessin du dos et des flancs tendant au type brun pastel.
Compléments au standard C.N.J.F. (octobre
1998)
Ces oiseaux présentent une expression maximale de la seule mélanine
brune avec disparition de la mélanine noire. Les stries devront
être brunes foncées et se détacher sur un fond de tonalité
brune. Les stries seront présentes sur le dos, les flancs et en
plus sur la tête des mosaïques. De même que pour les oiseaux
schimmels, mosaïques et à fond blanc, les stries resteront
évidentes mais moins larges chez les intensifs. La mélanine
occupe l’axe central des tectrices sur pratiquement toute la longueur de
celles-ci, le dessin strié sera longitudinal et continu depuis le
haut du dos. Les rémiges et rectrices seront fortement mélanisées,
d’une tonalité en harmonie avec les stries, il ne subsistera qu’un
fin liseré présentant la couleur de fond lipochromique. La
tonalité brune partira du bec et sera le plus complet possible en
fonction de la présence ou non du pigment lipochromique (variété
et catégorie). Le bec, les pattes et les ongles seront unicolores
et de couleur brunâtre.
Nota : chez le schimmel, la tonalité brune devra toutefois laisser
apparaître le lipochrome. Si l’enrobage est trop important, le lipochrome
ne se manifestant pratiquement plus, il y aura pénalisation dans
la rubrique catégorie..
Très bon Sujet correspondant au standard. Note
: 20 sur 30.
Bon Dessin strié et tonalité brune satisfaisants
mais avec éclaircissement en poitrine.
Striation présente mais pas assez nette ou trop discontinue
dans le dos.
Note de 28 sur 30.
Moyen La note de 25 à 27 sera adaptée au
degré d’imperfection.
Striation trop large. Eclaircissement de certaines parties du corps
: poitrine, front, gorge (pénalisation en fonction de l’éclaircissement).
Perte du dessin des flancs. Disparition progressive des stries.
Mauvais Application du système pénalisant.
Tonalité trop claire du fond avec aspect grisâtre tendant
au type agate. Etalement total de la mélanine avec disparition du
dessin du dos et des flancs tendant au type brun pastel.
Commentaires des secrétaires
d’équipe :
Equipe n°1 :secrétaire Didier Biau
Etant occupé à l’atelier topaze-eumo, je n’ai pas assisté
au débat. Toutefois je tiens à exprimer le fruit de mes réflexions
sur ce sujet. Pour ma part, la nouvelle tendance belge me ravit. En effet,
le dessin trop fin ou au contraire trop large n’est pas bon. Une juste
moyenne est nécessaire : strie suffisamment longue et moyennement
large, sans réduction du nombre de stries dorsales. Cela doit donner
l’impression de rayures dorsales. Un noir ou un brun doit avoir autant
de stries (ou traits continus) qu’un agate ou un isabelle. Avec 4 ou 5
traits seulement, nous ne pouvons obtenir que des caricatures. Ne perdons
pas de vue qu’en théorie les uns sont les dilués des autres.
Hormis la strie plus ou moins longue et large suivant le type, la seule
différence demeure dans l’interstrie plus ou moins large. J’ai l’impression
de faire une Lapalissade, et pourtant ! ! ! Je suis personnellement allergique
à cette structure de plume très large qui dégénère
tôt ou tard à l’écaille de dépigmentation.
Equipe n°2 :secrétaire Patrice
Dubes
Nous avons rappelé les caractéristiques de ces oiseaux.
Certaines ne sont pas nouvelles comme par exemple le fait que les noirs
présentent la seule mélanine noire et dans son expression
maximum. Mais pour les stries il y a maintenant une différence notable
de conception. Elles seront larges chez les schimmels, les mosaïques
et les fond blanc. Elles seront moins larges chez les intensifs. L’oxydation
du plumage doit être visible depuis le bec jusqu’au croupion et au
bas-ventre. Pour les bruns, les stries devront nettement
se détacher sur un fond de tonalité brune. La largeur
des stries sera comme chez les noirs. La tonalité brune partira
du bec et sera la plus complète possible en fonction de la présence
ou non du pigment lipochromique. Chez ces deux types d’oxydés, la
striation doit être longitudinale, bien alignée et continue.
Quelle évolution du standard ! Ces « nouveaux »
classiques oxydés sont des oiseaux totalement différents
de ceux que nous connaissions, ils ne résultent pas d’une simple
évolution des ces derniers. C’est autre chose donc un type de travail
différent.
Equipe n°3 :secrétaire Roland Boisard
Rappel du nouveau standard et explication de son évolution.
Pour les noirs, oxydation maximale de l’eumélanine noire sans brun.
Les pattes et le bec doivent aussi être très noirs. Les stries
sur le dos mais aussi les flancs seront plus marquées et plus larges.
Les stries sont continues et longues. Francis Lemoine note une très
nette évolution dans le type noir. Pour les bruns, eumélanine
brune bien marquée. Dessin plus large mais bien aligné, même
dessin sur les flancs. Fond de tonalité brune. Chez les intensif
et schimmel, le lipochrome doit être présent sur le dos. Chez
les fond blanc aussi l’orientation va dans le sens de stries bien visibles
sur le dos et les flancs, moins d’enrobage de phaéomélanine.
Très nette évolution chez le brun, encore plus importante
que chez le noir.
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